Errances généalogiques

« On descend tous d’un roi et d’un pendu », disait la Bruyère. Pas de pendu dans cette généalogie mais des parentés inattendues comme Marie qui fut la nourrice de St Louis ou Etienne qui fournissait la table royale en bon vin de Bourgogne ou encore Ambroise, envoyé au bagne pour avoir volé du thym, Simon, dernier joueur de vielle morvandiau, Charles, savant entomologiste, Louis, bigame par étourderie, Noé, ramasseur de betteraves etc.. Un chapitre concernera la saga des « Baillon » dont les traces les plus anciennes « remontent » au milieu du XVIème siècle et une énigme : qu’en est-il d’un possible cousinage avec d’autres « Baillon » de catégories sociales beaucoup plus huppées ayant fréquenté la même région ?