Hyperplasie de la prostate, prostatite chronique et cancer de la prostate, une suite logique ?
EAN13
9782872111688
ISBN
978-2-87211-168-8
Éditeur
MEDICATRIX
Date de publication
Nombre de pages
160
Dimensions
18 x 12 x 0,9 cm
Poids
150 g
Langue
français
Langue d'origine
allemand
Fiches UNIMARC
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Hyperplasie de la prostate, prostatite chronique et cancer de la prostate, une suite logique ?

Medicatrix

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Le docteur Jacob propose une nouvelle lecture révolutionnaire du PSA; voici ce qu’il nous dit: on affirme généralement que 90 % des inflammations de la prostate ne sont pas causées par des bactéries. C'est une affirmation typique de la médecine traditionnelle, que tous les urologues ont appris à "l'école" et répètent partout, mais cette affirmation est tout simplement fausse et complètement dépassée. Les maladies de la prostate les plus fréquentes sont la prostatite, l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) et le cancer de la prostate. Le régime alimentaire et le mode de vie occidentaux sont susceptibles de donner lieu à une augmentation de la graisse abdominale et à des taux élevés de cholestérol, d’oestrogènes et de dihydrotestostérone, ainsi qu’à des taux élevés d’insuline et d’IGF-1, hormones qui favorisent le développement de l’HBP et du cancer de la prostate. L’élargissement de la prostate cause un reflux urinaire intra-prostatique qui peut provoquer une prostatite chronique. Ce problème est particulièrement grave dans la zone périphérique de la prostate où le drainage des secrétions est faible. La substance la plus pro-inflammatoire présente dans l’urine est l’acide urique cristallin qui se forme à un pH de 5,5. Tel est le niveau d’acidité de l’urine matinale, qui pénètre la vessie pendant la nuit (nycturie), chez les hommes ayant une alimentation moderne typique incluant un grand nombre d’aliments producteurs d’acide. Un pH acide est également propice à l’activité accrue de la 5-a réductase qui catalyse la production de dihydrotestostérone potentiellement cancérigène. La prostatite chronique est un facteur important dans le développement de carcinomes dans la zone périphérique de la prostate, notamment en raison de l’augmentation permanente du stress oxydant/nitrosatif. Ce processus est intensifié par d’autres substances cancérigènes présentes dans l’urine et le rectum. Du point de vue épidémiologique, des études cliniques ont démontré que les maladies liées à l’acidité urinaire telles que la goutte ou la lithiase urinaire sont associées à une forte hausse de risque de cancer de la prostate tandis que les régimes alcalins à base de plantes réduisent considérablement le risque d’apparition du cancer et inhibent la progression des carcinomes existants.
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