- EAN13
- 9782952619707
- ISBN
- 978-2-9526197-0-7
- Éditeur
- ARTVIN
- Date de publication
- 23/06/2009
- Collection
- Collection Figures du Pays basque
- Nombre de pages
- 114
- Poids
- 401 g
- Code dewey
- 791.092
- Fiches UNIMARC
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Mon ami Léo Guido
portrait intime d'un enfant de Biarritz (1925-1968)
Autres contributions de Paul Azoulay
Artvin
Collection Figures du Pays basque
Le témoignage de Paul Azoulay vaut par l’amitié solide qu’il a partagée avec Léo mais surtout par son accent vibrant quand il évoque, avec frivolité quelquefois et gravité souvent, leur jeune temps.
« J’ai été son ami à l’âge heureux où le cœur parle sans qu’aucun froid calcul en altère la sincérité et où les désagréments se noient avec le temps.
Léo était un mélange déconcertant de vices et de vertus, de débauche et de probité, d’obligeance et de muflerie. Il n’a jamais pu rassasier à sa guise sa fringale des sens et sa sexualité fut intimement liée à sa vie toute entière.
Emporté par la fougue de sa passion, grisé par l’ivresse des plaisirs, cœur ardent plus que sensible, monarque des excès, à l’ego surdimensionné, il aimait à se parer des stigmates de la démesure et ses amis vedettes qui fascinaient son imaginaire ont servi en même temps que Biarritz et la Côte Basque, sa mégalomanie.
Biarritz lui doit beaucoup.
La « Plage des Tsars », il en a fait la « Plages des Stars ».
En vérité, Léo Guido est né un demi-siècle trop tôt. »
« Paul Azoulay, dans ce portrait vivant, écrit d’un air naturel et tendre, s’est occupé autant de l’homme que de ce qui l’environnait ; il a tout dit de ses passions est de ses formes, même sous les aspects les plus épineux. »
Johnny Hallyday
« J’ai été son ami à l’âge heureux où le cœur parle sans qu’aucun froid calcul en altère la sincérité et où les désagréments se noient avec le temps.
Léo était un mélange déconcertant de vices et de vertus, de débauche et de probité, d’obligeance et de muflerie. Il n’a jamais pu rassasier à sa guise sa fringale des sens et sa sexualité fut intimement liée à sa vie toute entière.
Emporté par la fougue de sa passion, grisé par l’ivresse des plaisirs, cœur ardent plus que sensible, monarque des excès, à l’ego surdimensionné, il aimait à se parer des stigmates de la démesure et ses amis vedettes qui fascinaient son imaginaire ont servi en même temps que Biarritz et la Côte Basque, sa mégalomanie.
Biarritz lui doit beaucoup.
La « Plage des Tsars », il en a fait la « Plages des Stars ».
En vérité, Léo Guido est né un demi-siècle trop tôt. »
« Paul Azoulay, dans ce portrait vivant, écrit d’un air naturel et tendre, s’est occupé autant de l’homme que de ce qui l’environnait ; il a tout dit de ses passions est de ses formes, même sous les aspects les plus épineux. »
Johnny Hallyday
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